A
Ouvrage assurant l’étanchéité autour d’une pénétration (souche, solin, etc.).
Pièce terminale d'une ligne de couverture.
Vide ou ouverture permettant le renouvellement de l’air d’un lieu.
Pièce de raccordement entre deux rives. Également appelé fronton au niveau des abouts de faîtage.
Ligne saillante formée par la rencontre de deux pans de couverture.
Tuile tranchée pour approcher l’arêtier.
B
Pièce métallique raccordant des ouvrages de toiture entre eux, avec des maçonneries ou des pénétrations quelconques (de solin, d’égout, de rive, etc.).
En général, ouvrage horizontal de faible hauteur, courant en saillie d’une façade. En particulier, la planche fixée au bout des chevrons pour finir l’ouvrage ou fixer la gouttière (aussi planche de rive, pare-close).
Revêtement établi suivant les principes et les techniques de couverture et protégeant une surface verticale.
Pièce de terre cuite, ardoise, etc Écartant les eaux des pignons sous les rives en tuiles à galbe. 2) Protégeant un solin par engravure dans la maçonnerie au-dessus de celui-ci.
Repos du nez des tuiles du rang d’égoût, tel que ces tuiles aient la même pente que celles du plan carré. En général liteau doublier de hauteur d’un liteau courant plus une épaisseur de tuile.
Tracer à l’aide du cordeau a tracer
Bande de raccord métallique recouvrant les bandeaux, les arêtes de toit ou en façade supérieure pour rejeter les eaux en les éloignant de la façade.
Tuile taillée pour s’ajuster à la pente de l’arêtier ou à celle d’une pénétration.
Inclinaison donnée au tranchis pour qu’il s’adapte parfaitement contre une pièce quelconque.
Paquet de liteaux.
Bris (ligne de)
La ligne de bris est la ligne de changement de pente d'un toit à la mansart.
Brisis
Le brisis est la partie inferieur d'une toiture en comble à la mansart.
C
Dispositif situé entre les chevrons, au droit du mur ou à l’égoût pour interdire l’accès aux oiseaux et rongeurs.
Relevé détaillé, à l’origine destiné aux tailleurs de pierre, établissant la forme et l’emplacement des éléments constituant un ouvrage. Ce même travail, pour une couverture, est à présent informatisé chez TERREAL.
1) Recouvrement métallique d’un ouvrage de petite section traversant la toiture (poinçon, passe-barre, passe-corde, etc.). 2) Pièce de terre cuite se positionnant à la rencontre du faîtage et des arêtiers.
Quelques rangs de tuiles à pureau découpé destinés à masquer le déchange sur une couverture gironnée.
Angle du tranchis de l’arêtière. Abattage de l’arête d’une pièce de bois, de pierre, etc.
Liteau ou chevron de section triangulaire, trapézoïdale ou rectangulaire à arêtes supérieures chanfreinées.
Ouvrage fixe ou ouvrant pour éclairer, ventiler ou permettre l’accès à la couverture (métal, plastique, etc.) aussi appelé : vasistas ou tabatière ou ciel-ouvert si de petites dimensions. EGALEMENT Fenêtre de toit ou fenêtre rampante si de grandes dimensions.
Petit ouvrage ou tuile spéciale pour ventiler sous-toiture et support de couverture.
Ouvrage de forte section pour la récolte des eaux pluviales, en métal, matière plastique, étanchéité multi-couches, complexe alu-bitume, etc. (aussi chenal, canal, caniveau mais improprement gouttière).
Disposition interrompant le chevronnage pour laisser passer un ouvrage au travers de la couverture.
Ligne de plus grande pente sur l’épure du charpentier
Pièce métallique, en matière plastique ou en matériau bitumeux assurant l’étanchéité d’un faîtage ou d’un arêtier.
Se dit d’une tuile plate bombée dans le sens de la largeur.
Volume inscrit dans le toit.
1) Pièce de bois de section inférieure à celle des chevrons, alternant avec ceux-ci lorsqu’ils sont trop écartés. 2) Liteau cloué sur les chevrons pour surélever le liteaunage lorsque cela est nécessaire à la ventilation (aussi contreliteau).
Cordeau (cordeau a tracer)
Le cordeau à tracer ou cordex est une cordelette imprégnée de poudre de craie colorée, servant à faire des marquages rectilignes.
Pièce de terre cuite raccordant deux versants sur l’arêtier. Voir schéma.
Ouvrage métallique bordant une rive, biaise dans la plupart des cas, et assurant l’écoulement des eaux vers l’égoût.
1) Revêtement assurant la protection d’un bâtiment contre les intempéries. Il est posé sur une structure porteuse, en général la charpente. Couverture et structure porteuse forment le toit. 2) Art de mettre en oeuvre les éléments de la couverture.
Pièce de bois fixée sur ou contre les chevrons à la partie basse d’un toit, assurant une pente plus douce et le débordement par rapport aux murs.
Partie basse d’un versant dont la moindre pente ralentit la vitesse des eaux.
Joint au mortier de deux faîtières posées bout-à-bout.
Pièce en fil d’acier à ressort servant à fixer un élément de couverture sur les supports de couverture.
D
Dépassement de la couverture par rapport aux murs. Il peut s’appeler queue de vache à l’égoût.
Sur une couverture gironnée, réduction tous les tant de rangs de la quantité de tuiles pour éviter qu’elles ne deviennent trop étroites.
Chanfreiner une pièce de charpente pour procurer une assise plus grande aux pièces venant sur elle en appui (ex. : arêtier).
Partie inférieure du toit où l’on commence le travail.
Raccordement métallique écartant les eaux à droite ou à gauche, en amont d’une pénétration.
Rang de tuiles assurant le basculement. Le doublis a aussi pour fonction d’assurer l’étanchéité du premier rang.
Tuile spéciale destinée à recevoir les conduits de ventilation.
E
Élément généralement continu, souple ou rigide, interposé entre le comble et la face interne des tuiles. Voir définition « sous-toiture ».
Partie inférieure, parfois retroussée, du versant d’un toit.
Composé vitreux obtenu par fusion d’un mélange de minéraux et de composés chimiques, élaboré pour assurer une excellente liaison avec le tesson de la tuile et offrir une palette étendue de couleurs.
Parement du garnissage au mortier scellant les faîtières, les éléments d’une rive, etc.
Dispositif permettant l’assemblage de 2 tuiles contiguës, comportant une ou plusieurs parties en relief (nervures) séparées par des creux (cannelures).
Nettoyage des mousses, lichens et algues se développant sur la couverture.
Petit tranchis biais pratiqué dans les coins supérieurs d’une tuile pour faciliter un raccordement.
F
Pièce maîtresse de charpente reliant horizontalement l’angle supérieur des fermes et sur laquelle s’appuient les chevrons.
Partie la plus élevée d’un toit.
Élément en terre cuite assurant l’étanchéité au faîtage. Dans la pose à sec, elle assure également une excellente ventilation. Un afaîteau (ou enfaîteau) a une moindre section qu’une faîtière.
Partie non apparente d’une tuile plate égale au pureau apparent.
Bande étroite de mortier servant d’assise à des pièces à sceller (faîtière, arêtiers…) mais qui peut être simplement la finition d’une ligne de couverture (faîtage sur tuiles plates…).
Pièce en bois, plâtre ou mortier donnant sa forme à un ouvrage métallique.
Nombre de tuiles(ardoises) nécessaire pour couvrir 1 m2 avec ce modèle.
Pièce de bois ou de métal enserrant une pièce de ch
arpente pour la renforcer ou la redresser.
G
Se dit d’une tuile plate, dont le dessus se creuse dans le sens de la largeur.
Remplissage de mortier, de morceaux de tuile pour assurer l’assise d’une faîtière.
Se dit d’une tuile dont l’un des bords longitudinaux relève.
Principe de couverture où toutes les liaisons latérales entre les tuiles convergent en un même point (sur flèche, tourelle de base quelconque…)
I
Angle du plan du versant avec le plan horizontal.
Angle formé par l’arêtier et une horizontale prise sur le versant de référence.
J
La jouée de lucarne correspond aux parties verticales latérales et triangulaires comprises entre la toiture d'une lucarne et le toit au milieu duquel elle se détache.
On donne le nom d'aileron aux ornements le plus souvent contournés en volutes et destinés à masquer ces jouées.
Les jouées sont souvent recouvertes en ardoise, ou mieux en feuilles de plomb ou de zinc.
L
Lambris
Planchettes de bois jointives ou non, habillant le dessous d’une saillie.
Accessoire de terre cuite, dont le dessin reprend celui d’une lanterne, surmontant un tuyau de sortie de ventilation.
1) Ouvrage couronnant le faîte d’un toit affectant la forme d’un petit toit, pour éclairer ou ventiler. La lanterne est très petite, le lanternon est plus élancé. 2) Châssis adapté aux toitures-157
Plan du dessus du chevron.
Pièce de bois de section rectangulaire débitée par sciage (s’il est refendu il s’appelle latte), clouée sur les chevrons pour accrocher les tuiles. Egalement pièce métallique, cornière en général.
Ensemble des liteaux posés.
Sens de la pente du versant.
N
Pièce métallique assurant l’étanchéité sous les tuiles.
Arête rentrante formée par la rencontre des versants de deux toits.
Variation de ton à l’intérieur d’une même couleur. Les nuances participent grandement aux charmes de la terre cuite.
P
Fixation des tuiles par un fil de fer au liteaunage. Également leur clouage sur les liteaux.
Vieillissement superficiel des matériaux, leur conférant souvent une meilleure tenue à l’épreuve du temps. Elle participe également au caractère esthétique d’un ouvrage.
Se dit d’une tuile galbée dans le sens longitudinal.
1) Ouvrage saillant d’un toit. 2) Intersection de deux versants.
Voir Inclinaison.
Surface du versant sur laquelle il n’y a aucune coupe ou pénétration (également plain comble qui est impropre).
Voligeage jointif. Cela peut également être du contreplaqué ou des panneaux de particules.
Poinçon
Un poinçon est une tuile d’ornement, qui couronne le point de rencontre d'un faîtage et des arêtiers, des arêtiers entre eux s'il n'y a pas de faîtage, ou le sommet d'un comble conique. La matière est en général la même que celle de la couverture : terre cuite pour le toit en tuiles traditionnelles et le métal pour les toits recouvert de feuilles métalliques, comme le zinc ou le cuivre.
Calcul, traçage, fixation du support et des matériaux de couverture, raccordement avec d’autres ouvrages.
Technique évitant tous scellements au mortier sur les lignes de couverture. Particulièrement rapide et durable, elle permet en outre une excellente ventilation.
Pureau dont la longueur de la découpe varie de manière aléatoire en usine. Les tuiles à pureau brouillé donnent l’illusion de la superposition des tuiles entre elles à l’image des toitures anciennes.
Celui indiqué par le fabricant : il est caractéristique d’un modèle de tuile.
Partie apparente de la tuile dans le sens de la plus grande pente. Par conséquent, distance entre deux fixations suivant le sens longitudinal. C’est donc le pas de la pose des liteaux.
Celui déterminé précisément par le couvreur sur une livraison donnée et conformément au DTU 40.21 et 40.211. Le couvreur calcule le pureau réel de pose avant la pose des liteaux.
Partie apparente de la tuile dans le sens transversal.
R
Ouvr
age assurant la jonction et l’étanchéité si nécessaire entre deux parties de couverture ou entre couverture et pénétration.
1) Toute surface de construction qui n’est pas horizontale. 2) Pour un toit, on dit plus généralement versant, qui désigne la surface de la toiture limitée par au moins trois côtés. Un pan désigne plutôt un petit versant répétitif (tourelle, abside…). 3) Dimension longitudinale du versant.
Suite d’éléments dont les bases sont alignées (pas nécessairement sur une horizontale). Il est qualifié par sa position sur la toiture (d’égout, de tête, etc.).
Rang situé dans le même plan horizontal qu’un autre rang d’un versant différent.
Principe essentiel des techniques de couverture consistant à superposer entre eux des éléments pour assurer l’étanchéité. Il est toujours longitudinal.
Pièce généralement de bois, fixée sur la charpente, dépassant le niveau supérieur des liteaux et servant à la fixation des éléments tels que faîtières, arêtiers (également lisse de rehausse).
Dépose puis repose d’un matériau de couverture pour nettoyage, réfection du support, pose d’un écran.
Partie d’ouvrage sur plan vertical ou presque, continuant après un angle saillant ou rentrant.
Renvers
En couverture d’ardoises, désigne une noue arrondie sur fourrure, raccordant un pan de comble incliné et un pan vertical.
Le renvers est dit rond ou à un tranchis selon que les pureaux des deux versants sont alignés, ou que le versant vertical vient en recouvrement de l’arrondi.
Le renvers fermé est une noue simple sur noquets, sans arrondi ni fourrure.
Ligne délimitant un versant, ou ouvrage couvrant cette ligne. Elle peut être de forme quelconque, latérale, de tête, en pénétration, en arêtier, etc. Cela désigne cependant dans la pratique une rive latérale.
Pièce latérale pour la réalisation des rives latérales.
Du sol, face à un versant de couverture, la rive latérale du côté droit est dite droite.
Du sol, face à un versant de couverture, la rive latérale du côté gauche est dite gauche.
Rive en mortier.
S
Ouvrage en mortier ou bande métallique assurant l’étanchéité contre une pénétration. Voir schéma.
Conduit de fumée dans sa partie dépassant la couverture.
Dispositif d’étanchéité complémentaire servant d’écran, établi sous le support de couverture : c’est une sécurité contre la neige poudreuse. Cela permet souvent d’abaisser la pente d’une couverture. (Voir définition « Écran »).
Élément servant directement d’appui à la tuile, pouvant le cas échéant assurer son positionnement (liteau, latte, chanlatte, dalle béton, voligeage, etc.).
T
Ouvrage assurant la protection d’un édifice conte les intempéries. Il nécessite en général l’intervention du maçon ou du tailleur de pierre, du charpentier et du couvreur.
Ensemble des toits d’un édifice.
Ligne continue selon laquelle sont recoupées des tuiles qui se succèdent.
Sens perpendiculaire à la ligne de plus grande pente.
Ouvrage permettant d’accéder sur la couverture.
Matériau de couverture en terre cuite, le plus ancien façonné par l’homme. Sert improprement à désigner des éléments de couverture semblables à la tuile mais dans d’autres matériaux que la terre cuite.
V
Aération d’un espace clos pour éliminer entre autres l’humidité qui nuit à la pérennité de certains matériaux et à la salubrité des locaux. On doit ventiler en particulier les pièces d’une habitation, les vides sanitaires, les combles, les supports de couvertures…
Planche d’environ 20 cm de largeur et d’épaisseur inférieure à 27 mm servant de support de couverture.
Support réalisé avec des voliges mais par extension avec d’autres matériaux (CTP, panneaux de particules…).
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